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Debout Sur Le Zinc s'associe aux Productions Jacques Canetti pour célébrer, de la plus belle manière, le 100ème anniversaire de la naissance de Boris Vian ! Vian par Debout sur Le Zinc est un disque revisitant les plus grands textes du célèbre artiste pluridisciplinaire. Jacques Canetti, mythique directeur artistique, fut l'homme qui lança Boris Vian, en 1955, sur le devant de la scène dans son Théâtre des 3 Baudets, et qui enregistra de très nombreuses chansons interprétées et orchestrées par les plus grands.

Vimala Pons et Tsirihaka Harrivel sont deux figures du cirque contemporain. Ces geeks multi-instrumentistes touche-à-tout présentent depuis 2016 le spectacle Grande sur les scènes de France et d'Europe. Dans la tradition du music hall qui leur est cher, cette pièce à rebours qui célèbre l'amour est jalonnée de hits bricolés de petits instruments laissant en tête de grandes mélodies. Après 3 ans de représentation, l'envie a germé d'un objet qui renfermerait cette musique omniprésente sur scène et dont les spectateurs émus ne peuvent se départir. Epaulés par Olivier Demeaux (Heimat, Cheveu, Accident du Travail), c'est en studio, reprenant les grands thèmes des revues de Grande que les trois filous interprètent, arrangent, bouclent et bidouillent ce disque-OVNI, à la croisée de la musique de film et de l'album-concept.

Le violoniste star Christian Tetzlaff joue deux chefs-d'oeuvre de Béla Bartok dans cet enregistrement avec le Finnish Radio Symphony Orchestra conduit par Hannu Lintu sous le label Ondine. Les deux concertos pour violon de Béla Bartok célèbrent la relation avec deux violonistes hongrois : la première romantique, avec Stefi Geyer, la seconde artistique avec Zoltán Székely. Christian Tetzlaff est considéré comme un des plus grands violonistes du monde et sacré Musicien de l'année en 2005 par Musical America.

Le duo électro-pop new-yorkais incontournable présente son second album "Voices", près de quatre ans après "Eyelid Movies", qui les avait propulsés sur le devant de la scène pop mondiale. Du premier titre "Nothing but trouble" au single "Fall in love", cet opus mélange pop rêveuse soutenue par la voie unique de Sarah Barthel avec distortions électroniques du producteur et autre moitié du duo Josh Carter, créant un univers sonore toute en puissance et singularité.

Deep Purple s'est, pour la 3e fois, adjoint les services de Bob Ezrin (Pink Floyd, Alice Cooper). Le producteur a invité le groupe chez lui, à Nashville, et ils ont créé ensemble l'album le plus varié de leur collaboration. Pour cet opus le groupe a pris différentes directions, sans jamais se fixer de limite afin de laisser libre cours à sa créativité, revenant cependant à ses racines et redonnant ainsi un sens au nom Deep Purple pour les fans de la première heure. Ces dernières années Deep Purple a progressivement évolué vers de nouveaux horizons, intriguant les fans pas encore nés lorsque la "machine Purple" dominait le monde de la musique. Le succès de leurs albums In rock (1970), Machine head (1972) et Made in Japan (1973) les avait propulsés parmi les leaders en termes de ventes de billets de concerts et d'albums à travers le monde, notamment grâce à des hits tel que l'immortel Smoke on the water. Infinite, le 20e album studio du groupe sorti en 2017, est devenu un de leurs plus grands succès, battant de nombreux records dans les charts, et confirmant la popularité retrouvée de ces légendes du hard rock, à l'approche de l'anniversaire de leurs 50 ans de carrière.

Souvent, lorsqu'on évoque la résistance des esclaves, ou lorsqu'on pense aux chants d'esclaves, on fait allusion, en général, aux hommes uniquement (work song). Mais qu'en est-il de la résistance des femmes esclaves et de leur voix ? Voilà ce qui a guidé Sarah Lenka pour faire cet album. La souffrance des femmes, celles qu'elles cachent, celles qu'elles taisent.

Encensé par Pitchfork pour son très remarqué premier album, ''The year of hibernation'' sorti en 2010, le jeune et discret Trevor Powers a profité d'une accalmie après une intense tournée de 2012 pour se replonger dans la solitude et mettre la main à son deuxième album. On retrouve ici tous les ingrédients qui ont fait la réussite de son premier opus, soit dix morceaux ambitieux d'électro-pop minimaliste et hypnotique chantés d'une voix aérienne, avec des textes emprunts de métaphysique et de spiritualité. Mais si la formule du succès reste la même, les compositions apparaissent quant à elles bien plus complexes et recherchées, tutoyant sur certains titres les plus grands noms de la pop-rock psychédélique des années 60 et 70.

Après un an et demi de tournée et une centaine de concerts devant plus de 500.000 spectateurs sur trois continents, Matmatah clôture ce marathon en livrant un live rugueux qui survole l'ensemble de leur carrière, et montre autant l'énergie qu'ils dégagent en concert que la qualité de leur répertoire. On y ressent instantanément leur plaisir d'être réunis sur scène, tout comme celui du public, tant ceux de la première heure qui retrouvaient Matmatah après des années d'absence, que les plus jeunes, qui les découvraient enfin sur scène.