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Pour l'occasion, Bénabar, Calogero, Robert Charlebois, Louis Chedid, Thomas Dutronc, Idir, -M-, MB14, François Morel, Nach, Helena Noguerra, Véronique Sanson et Shirley & Dino, reprennent ses plus beaux succès dans un album réalisé par Louis Chedid. Henri Salvador a échappé à la mortalité par la grâce et la complexité de son uvre. Pour certains, il n'est question que de fantaisie, de chansons rigolotes et de comptines enfantines. Pour d'autres, ne s'imposent que la rigueur et la complexité de mélodies jazz, blues ou de ballades romantiques. Toute la difficulté du répertoire de Salvador est donc de parvenir à réaliser une cohérence dans le son. Louis Chedid a réussi ce pari à travers treize chansons, qui parlent en treize voix différentes d'un même homme. Cet album réveille ainsi la mémoire de chacun, et révèle un Henri Salvador comme on ne l'avait jamais réellement connu.

Créé en 2012 par le percussionniste Marc Glomeau, Muddy Gurdy réunit trois personnalités musicales venues du blues, des musiques traditionnelles et afro-caribéennes, Tia Gouttebel (chant, guitare), Gilles Chabenat (vielle à roue) et Marc Glomeau (percussions, voix). Le trio auvergnat revisite le blues en intégrant une vielle à roue en deuxième guitare et défend l'idée d'un "blues universel" qui fait apparaître le lien qui relie les musiques paysannes du Massif Central avec celles du Sud des Etats-Unis.

Nous sommes en 2015 quand le groupe franco-gallois se fait connaître du grand public avec le single England skies, ballade pop-folk à l'accueil unanime, certifié single de diamant à travers le monde. Des dizaines de millions de streams plus tard, Shake Shake Go est de retour avec Homesick. Porté par le single Dinosaur, l'album emmène le groupe dans une nouvelle sphère. Le disque est plus profond, plus adulte, empreint d'une énergie et d'une force folle. On y découvre des titres plus rock que sur le précédent, de la pop archi dansante avec le nouveau single Come back to me et des ballades par lesquelles la voix de Poppy Jones résonne comme une signature.

Cock Robin, le groupe derrière les tubes intemporels Where your heart is week ou The promise you made, est de retour avec son 7e album. Homo Alien est le premier album pour lequel Peter Kingsbery est entouré de la chanteuse/clavier Coralie Vuillemin et du batteur Didier Strub. Malgré ce sang neuf, on reconnaît tout de suite le son distinctif de Cock Robin, que Peter Kingsbery appelle "la mélancolie universelle qui fait croire à l'espoir alors qu'il n'y en a plus".

Le duo a marqué de son empreinte indélébile l'histoire de la dance/pop Britannique. Cet album, écrit et enregistré à Berlin, est leur 3ème produit par Stuart Price (Scissor Sisters, Kylie Minogue, Madonna..). Il comprend 10 titres écrit par Neil Tennant et Chris Lowe, dont le single Dreamland featuring Years & Years, sorti début 2019, et Burning the heather featuring Bernard Butler à la guitare.

Le groupe britannique Royal Blood revient avec son nouvel et 2nd album : "Nous avions un entrepôt à Burbank (en Californie) et c'était génial. Nous allions faire la fête la nuit et écrivions toute la journée. A ce moment-là, nous avons constaté que l'album prenait forme et qu'il y avait un thème qui reliait nos chansons." Kerr a ajouté que le groupe a écrit environ 50 chansons pour l'album avec l'idée "Tout ce dont nous ne sommes pas fier... à la poubelle !" en obtenant ainsi un résultat "plus sexy, plus mature" qu'à leurs débuts. Lorsqu'on leur a demandé si le deuxième album comporterait plus de piano, le batteur Ben Thatcher a déclaré: "Nous n'allons pas devenir comme Keane. Nous apportons toujours notre touche rock n'roll."

Hugo petit garçon espiègle, découvre en jouant dans le grenier de sa maison un livre qui va s'avérer magique ! Il va retrouver son grand-père, musicien de jazz, qui va lui faire découvrir les instruments de son orchestre et cette musique merveilleuse : le jazz ! Ce conte musical, écrit par Arnaud Labastie et illustré par Jean Duverdier, est raconté par Pierre Bellemare avec son incomparable timbre et sa manière toute particulière de narrer les histoires.

La chanteuse irlandaise Sinead O'Connor, mondialement connue et reconnue, notamment grâce au titre composé par Prince "Nothing compares to you" revient avec un nouvel album fin Août qui s'intitule "I'm Not Bossy, I'm the Boss" ce qui veut dire "Je ne suis pas autoritaire, je suis la patronne". C'est la même équipe avec laquelle elle a travaillé sur "I Do Not Want What I Haven't Got" l'album sorti en 1990 qui contient ce tube "Nothing Compares to You" Autant dire que ces 12 nouveaux titres contiennent la fragilité, l'émotion et tout autant l'assurance de cette artiste qui a atteint un nouveau cap. Avec 30 ans de carrière au compteur, Sinead O'Connorreste l'une des artistes les plus influentes de l'industrie musicale.

Metz nous livre avec "II", leur musique la plus sincère et la plus pure dans sa forme. Les guitares sont incroyables. La batterie est déchaînée. Les voix nous donnent le frisson. La nouveauté se retrouve dans les instruments que le groupe n'utilise pas à son habitude : guitare baritone, piano, synthétiseurs, sons extérieurs. De la stimulante " Spit You Out " à la très vigoureuse " Landfill ", c'est un album " beaucoup plus lourd, sombre et négligé " comme le décrit Alex Edkins, le leadeur du groupe. II est un mélange de férocité et d'abrasivité qu'on a peu souvent l'occasion d'entendre de nos jours.

Domino annonce le lancement de Domino Documents, une série d'enregistrement en studio dans des conditions live, avec la sortie de "In the same room" de Julia Holter. Après le succès de son dernier album "Have you in wilderness" encensé par la critique, sa collaboration avec Jean-Michel Jarre et sa participation à la bande originale de "Bleed for this" de Ben Younger, la Californienne Julia Holter et son groupe ont enregistré "In the same room" en deux jours au fameux RAK studios à Londres. "In the same room" est une relecture intimiste de titres phares des quatre albums studio de Julia Holter. C'est une introduction parfaite à la discographie d'une jeune artiste aussi brillante qu'innovante.

Pierre angulaire du flamenco contemporain, Diego El Cigala réinvente le son de la Salsa dans son nouvel album, Indestructible. Evoquant la Salsa des années 1970, sensuelle et crue, ce nouvel album de 'la Langoustine' est un véritable voyage. Enregistré dans des villes aux quatre coins du globe et toutes intimement liées à l'histoire de la Salsa (Miami, New York, Barcelone, Porto Rico), avec des invités prestigieux, (Gonzalo Rubalcaba, Larry Harlow, Oscar D'Leon, Luis "Perico" Ortiz, Los Muaeequitos de Matanzas, parmi d'autres), Indestructible rend hommage à ce courant musical né du mélange de la musique afro-cubaine avec des éléments du jazz, du R'n'B et de la soul. Les chansons d'El Cigala nous rappellent les légendes de la Salsa (Hector Lavoe, La Sonora Ponceaea ou bien encore Tito Allen et Ray Barretto) tout en s'en démarquant. Diego El Cigala y apporte en effet le "duende" et la théâtralité nécessaires avec sa voix puissante, expressive, forte et vulnérable à la fois.